La bicyclette venait a la rescousse du mouvement régulier des aiguilles ponctuant son urbanité exubérante.
A la recherche de l’ombre d’un doute,d’une hésitation, d’une faille , elle fuyait, autant de fois qu’il lui etait nécessaire, la métaphore humaine.
Et c’est en ce sens que la peinture flamande pouvait permettre une piste.
Et c’est en ce sens qu’a l’approche des carrés colorés, ce n’est pas son cœur mais tous les muscles de son corps qui sautillaient de joie.
Tricoter le romanesque serait une sorte de degrés second d’une profonde gratitude.
En d’autres temps et lieux ,nous appelions ces echapees magiques : la vie.
PS:
Photos de Lydia Chebbine.USA,august 2015.
bizak
11 août 2015 at 09:12
Et si je vous posais une question, Jasmins de nuit? : Pourquoi sur le fronton de votre blog, le mot « littérrature » est apparu avec deux « R », alors que partout ailleurs et même dans vos mots clés,vous l’écriviez avec avec un seul « R » ? Vous voyez, en fait il y’avait deux questions.
Excusez-moi, cela peut arriver au plus grand des poètes.
Bonne journée
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Jasmins de nuit
11 août 2015 at 10:52
Bonjour Bizak. Vous faites bien de me le dire.Corrigé et approuvé,on va dire.Cheers.
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bizak
10 août 2015 at 14:20
Je n’ai pas cessé de lire et de relire en vue de saisir le sens du tricotage des mots de ce beau texte. Et j’ai compris en finalité, qu’il n’y a nul besoin d’effilocher ce tricotage, il suffit de lire tout simplement avec son âme. Et c’est tout le sens de la vie, chacun porte en soi, sa béatitude dans ses échappées magiques.
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Jasmins de nuit
11 août 2015 at 11:04
Il s’agit d’une promenade champêtre, sans prétention. Une virée lyrique légère griffonnée au bureau entre deux dossiers, pour le plaisir de légender de superbes photos. Les mots/bulles sont la pour colorier et sublimer le quotidien. Merci de votre passage.
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