Je ne me pardonne pas qu’il ait connu l’Algérie des annees de traîtrise, lui, pourtant si heuerux en 62 de la voir enfin libre et libérée.
J’aurais voulu lire son nom dans nos manuels scolaires .
Voir ses fresques illuminer chaque ville, village, bourgade éloignée, rue, jusqu’a la derniere maison marquant nos vastes frontières.
Cela aurait été tellement ingénieux de l’entendre sur nos médias en lieu et place des FLN- istes bavards ou de ces autres imams honteusement ignares.
L’homme des » Aouchem » en reponse a l’ingratitude de Boumedien signera des embrasements visuels et mettra sur rails avec ses compagnons de l’époque la prestigieuse ecole des beaux Arts.
Le reste de la legende c’est Choukri qui la declinera de sa voix flamboyante. « Mesli, peintre
et passeur de lumiere » n’est pas seulement un film/documentaire retraçant le parcours brillantissime de l’artiste Algerien mais 01:10mn d’éblouissement intense .
Et si on en sort éraillé, définitivement « ecchymosé », restera ce sentiment mêlé, totalement envoûté comme seuls peuvent l’etre les témoins privilégies des destins incandescents.
Cliquez sur le lien. Avoir absolument.
https://vimeo.com/145202058?ref=fb-share&1