Il y aurait de ces phrases tramées dans le silence qui raconteraient au mieux les respirations en enfilade des départs voilés.
Il y aurait de ses regards tellement vulnérables a qui l’on oserait pas tout dire..Les temporalités s’entrechoquent et les halls des Aéroports restent discrets sur « les voix » des départs ou de ces autres d’arrivées.
Non,il n’y a pas besoin d’avoir toutes les clefs pour comprendre que la machine humaine est majestueusement sentimentale…
Ce soir je rentre de l’aéroport.
L.K.
Photo de Lydia Chebbine.
Aéroport Dulles .Washington DC.09/01/2014 .