Une ville,disons New York a l’heure du crépuscule.
L’heure n’est jamais une coïncidence fortuite mais plutôt une sorte de cahier des charges de l’intime…une ambiguïté qui ne saurait expliquer l’exaltation du regard qui se pose sur un détail et non un autre…Que cède t-on a ce moment précis de l’émerveillement solitaire en terme de rencontre,d’échange,de révélation,bref d’inédit?.
Et me voila, a jamais et pour toujours, en l’espace d’une énergie, a jouer mes fouillis, mes exubérances, mes triomphes et mes tragédies…Encore un tour de mon double ,cet autre miroir résolument moderne.
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Négoce citadin…
09
Avr