Nous aimons à dire que l’émotion c’est respirer avec le cœur mais Brahim Achir poussera l’exigence ainsi que nos palpitations jusqu’aux derniers retranchements esthétiques . Il réveillera prodigieusement nos obsessions pour réintroduire de la perplexité, seule raison et véritable gage de la destinée. Une toile, donc, pour dire un mode de relation avec, par et pour le beau.
La vie ainsi déclinée et selon la grammaire Achir est fanatiquement un visage de femme.
Mi stupisco a vederti mirarmi (part.) olio su tela (Achir)
Je m’étonne de te voir mirarmi (part. ) huile sur toile (Achir)
karim
22 septembre 2017 at 04:20
Le pinceau ne chemine pas en droite ligne. Au bonheur de détours, il s’en va créer les lignes courbes qui reflètent l’harmonie d’une féminité chatoyante…Merci l’artiste
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Jasmins de nuit
22 septembre 2017 at 19:31
Hello Karim,
Un pinceau espiègle en somme, il prendra, pourtant, soin de ne pas chahuter les courbes.Sous ses airs simples, la géométrie peut se montrer si intimidante. Merci de votre passage. Cheers.
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Luce Caggini
15 septembre 2017 at 21:16
Un visage avec des remparts à lire « fanatiquement » ce qui laisse toute latitude à une route déterminée à l ‘avance si ce n ‘était la régularité des traits qui met un frein brutal à celui qui s’ y risquerait. Je dirai même halte à l ‘ inquisiteur .L.C
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Jasmins de nuit
16 septembre 2017 at 09:59
Bonjour Luce,
La toile se dédouble et emprunte d’autres tons sous ta délicieuse plume/pinceau. Superbe lecture. Cheers.
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