Entre deux désirs…
Nous avons longtemps rêvé devant les pages blanches, devant les villes invisibles,devant la pénombre de nos vies..
l’intime a ses moments de prédilection et c’est devant les valises qui débordent,qu’il retrouve son lyrisme…
Il n’y a pas mieux que les valises des voyageurs pour raconter les palpitations disait le Baladin…
Non,il n’y a pas mieux que les maisons pour raconter l’ultime moment de l’ivresse des espérances, répondaient les dunes qui couraient le soleil..
Des dunes qui rêvent de maison…
C’est en fait, l’histoire de ces maisons ouvertes sur les équilibres fragiles que l’on a vu prendre le large pour mieux défier les certitudes…
La vie est un immense casino et tous les jeux sont permis pourvu qu’ils donnent le bla,bla,bla …
A l’aube d’une Vie ,a l’entre deux désirs,Dieu se tenait parfois la ,entre deux grains de sable…l’un noir et l’autre blanc.
L.K
Photo de Lydia Chebbine.