Un trait pur doublé d’un souci de l’esthétique très avéré, l’artiste Chafik Kadi revisite a sa manière la mémoire Algérienne.
Le sujet est sensible, le noir et blanc s’impose,donc , naturellement pour ne pas heurter et favoriser la confidence.
l’artiste égrène en douceur les fragments des moments intimes,des gestes langoureux et une sensualité trop longtemps tue.
L’ambiance est au voilé/ dévoilé…laisser Le hors champs restituer l’essentiel des
palpitations joyeuses et les amours tus a l’ombre de la Médina .
Le travail du détail qui pourrait faire penser,dans un premier temps, a un gout pour l’exotisme n’est en fait qu’une volonté de mettre en avant le récit conjugué au romantisme féminin.
Nous sommes face au bonheur de l’artiste qui » croque » joyeusement des Algériennes belles,affranchies et dotées d’une rare capacité a nous faire rêver.
Cela sent le jasmin et les notes andalouses.
Encore Bravo.
Archives du 11 avril 2015
Elégante,douce débauche…
Un cœur en prose…
On aurait vu une ville se traverser a patins a roulettes. Elle slalomait avec grâce au milieu des bouquets d’arbres et retraçait pour ainsi dire le lyrisme en coulées de lumières…Aller chercher ses fleurs jusqu’au japon est une manières de raconter l’humilité puisqu’il fallait attendre a chaque fois 350 naissances du jour pour pouvoir dissoudre les nuages et réunir un a un tout ce qui permettrait la gravure…Les jardins auront raison des souffles urbains et ce soir le monde entier surveillera l’éclosion du printemps sous les cerisiers en fleurs.
Tres belle fête de hanami a vous tous.
- Cherry Blossom festival aux U.S.A.





