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Sur le gnangnan…

18 Jan

 

Vu d’ici je ne parlerai franchement pas d’un récit, encore moins d’une composition littéraire patiemment tricotée.
Je converserai plutôt en terme de chronologie sur le banal avec la dose d’emphase jamais retrouvée, pourtant matériellement nécessaire a édulcorer un tant soit peu, le creux.
Quelque part dans cette ville pas spécialement grande mais bel et bien moderne pour vous rappeler fatalement toutes les autres mégapoles qui courent ce monde, se tenait une longue file d’extravagance.
Happée par le manque cruel de renouveau, je m’ingéniais méthodiquement a sublimer les paroles, les gestes ainsi que les épanchements des uns et des autres en butant immanquablement sur les sourires capricieux.
Loin de moi l’idée de distiller de la mélancolie sournoise cependant force était de constater que je manquais authentiquement d’entrain dans ce méli_mélo citadin.

 
3 Commentaires

Publié par le 18 janvier 2017 dans A pile et face

 

3 réponses à “Sur le gnangnan…

  1. mourad Bouzid

    19 janvier 2017 at 17:59

    Ami remplis mon verre, encore un et je vas..titiller mes souvenirs à la recherche du temps perdu et des jeunes filles en fleurs, de Frida la blonde et margoton la jeune bergère qui n’a plus d’autres gougoutes à m’offrir que mes sueurs de mémoire..
    Trace ta route mon frère. Celle de ce bon vieux jack est vivifiante. Un itinérêve à bord du tram 33 sur la route 66 bien sûr, entre ciel et moulin. Un moulin dont les pales vibrent comme des couperets, menaçants face à l’homme de la mancha, seigneur de plus d’horizons et de rêves que de domaines..

    Papillon de lune

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    • Jasmins de nuit

      25 janvier 2017 at 22:22

      L’inoxydable Brel pour rappeler la vulnérabilité de nous autres humains. Merci de rappeller le texte, Mourad.

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      • mourad Bouzid

        27 janvier 2017 at 16:38

        Voleter par monts et vallées au gré des lunes
        fureter dans les sous bois au gré des frondaisons
        Venez à moi compagnons de route
        J’irai, avide et ruminant, gloutonner vos bosquets
        Recueillir le nectar de vos mots à même la calice
        Brel et Brassens, Proust et puis Kerouac
        Cervantes. . .
        Vous avez pour convive un papillon de lune.

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