Photos de Lydia Chebbine.
U.S.A. 2016.
La bicyclette venait a la rescousse du mouvement régulier des aiguilles ponctuant son urbanité exubérante.
A la recherche de l’ombre d’un doute,d’une hésitation, d’une faille , elle fuyait, autant de fois qu’il lui etait nécessaire, la métaphore humaine.
Et c’est en ce sens que la peinture flamande pouvait permettre une piste.
Et c’est en ce sens qu’a l’approche des carrés colorés, ce n’est pas son cœur mais tous les muscles de son corps qui sautillaient de joie.
Tricoter le romanesque serait une sorte de degrés second d’une profonde gratitude.
En d’autres temps et lieux ,nous appelions ces echapees magiques : la vie.
PS:
Photos de Lydia Chebbine.USA,august 2015.