Photo de Lydia Chebbine. Janvier 2016.
Une planche plutôt surdimensionnée pour rappeler que l’été est forcement passager…Malgré le vent qui lui cinglait le visage, il restait la, totalement fermé, droit comme un i a fixer le tronc d’arbre oublié sur l’étendue crayeuse comme pour narguer toutes les bouteilles anciennes et ces autres que l’on ne jettera plus tant la métaphore devenait triviale. Le torse en bois dénué de souplesse n’avait rien de singulier, pourtant. Il n’invoquait ni la fougue ni le mouvement mais le faisait bizarrement penser a Victor Hugo qui disait que la pudeur le rendait fécond.
bizak
16 février 2016 at 14:36
Une très belle image d’une netteté absolue de ce névé donnant l’impression que ce tronc d’arbre qui s’y était égaré avait trouvé son lieu pittoresque pour s’y aussi ressourcer. Bien à toi Latifa.
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Jasmins de nuit
20 mars 2016 at 14:48
Ballottés d’une saison a l’autre avec ses palpitations portés en collierm l’humain se fait sage.. Tres bon printemps, Bizak. Cheers.
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