Photo de Lydia Chebbine. Janvier 2016.
Une planche plutôt surdimensionnée pour rappeler que l’été est forcement passager…Malgré le vent qui lui cinglait le visage, il restait la, totalement fermé, droit comme un i a fixer le tronc d’arbre oublié sur l’étendue crayeuse comme pour narguer toutes les bouteilles anciennes et ces autres que l’on ne jettera plus tant la métaphore devenait triviale. Le torse en bois dénué de souplesse n’avait rien de singulier, pourtant. Il n’invoquait ni la fougue ni le mouvement mais le faisait bizarrement penser a Victor Hugo qui disait que la pudeur le rendait fécond.