Elle avait une robe noire et ses cheveux blonds ,presque blancs dénotaient drôlement avec le reste. Elle jouait »what a wonderfull World » sur une harpe… Le voyage a » l’Hotel Emirates Place » passe par cette errance sonore.
Passé ,présent ,réel et imaginaire ne font qu’un et l’exaltation se décline en une déferlante de luxe,d’extravagance presque naturelle pour les lieux…
Cette histoire de bouche et d’intimité ,je voudrai la commencer par un délicieux gâteau noix caramel couvert d’une fine feuille d’or 24 carats…c’est ce que nous appelons rentrer dans une communauté ..lol .
Tout en buvant le café doux et aromatique , je tentais de deviner l’état d’âme de la citée en observant le travail plastique des artisans venus d’un peu partout ..Hors ces murs c’est le début d’une histoire de fous: celle d’un désert de béton ou comment réinventer son destin…enfin, c’est selon.
Les frontières architecturales de nos jours semblent être si floues d’un continent a un autre qu’il nous est difficile de comprendre dans quel monde nous sommes..La globalisation de la pierre s’avère être désormais un ennemi et non des moindres de « l’ivresse nomade » tant promise par les brochures touristiques .