Elle avait une robe noire et ses cheveux blonds ,presque blancs dénotaient drôlement avec le reste. Elle jouait »what a wonderfull World » sur une harpe… Le voyage a » l’Hotel Emirates Place » passe par cette errance sonore.
Passé ,présent ,réel et imaginaire ne font qu’un et l’exaltation se décline en une déferlante de luxe,d’extravagance presque naturelle pour les lieux…
Cette histoire de bouche et d’intimité ,je voudrai la commencer par un délicieux gâteau noix caramel couvert d’une fine feuille d’or 24 carats…c’est ce que nous appelons rentrer dans une communauté ..lol .
Tout en buvant le café doux et aromatique , je tentais de deviner l’état d’âme de la citée en observant le travail plastique des artisans venus d’un peu partout ..Hors ces murs c’est le début d’une histoire de fous: celle d’un désert de béton ou comment réinventer son destin…enfin, c’est selon.
Les frontières architecturales de nos jours semblent être si floues d’un continent a un autre qu’il nous est difficile de comprendre dans quel monde nous sommes..La globalisation de la pierre s’avère être désormais un ennemi et non des moindres de « l’ivresse nomade » tant promise par les brochures touristiques .
Chronique d’une derive douce…
02
Juin
Laura
29 novembre 2012 at 14:50
Et dire que l’enseignement de l’histoire e0 l’e9cole est menace9 Cela fait froid dans le dos.J’ai beaucoup aime9 cette image des dnistes, de9cisions, choix ( ) qui oscillent, he9sitent et basculent pour un rien, une petite chiquenaude de l’histoire.Il paraeet que les he9ros ne le sont que par les circonstances exceptionnelles qu’ils rencontrent. Ce qui n’est pas dit, c’est le nombre de personnes mises dans les meames circonstances et qui n’ont jamais atteint ce statut (cette statue) he9roefque
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Karim
2 juin 2012 at 11:52
L’ivresse nomade c’est ce que je retiens de ce billet assez fluide et qui désoriente son lecteur. Le « voyeur » qui feuillète l’album accompagnateur ne risque pas une moins d’ivresse et là nulle trace nomade mais des bâtisseurs en furie. Effet de globalisation? allons donc c’est juste le son de la harpe et l’arôme du café partagé qui me fait renoncer à poursuivre cette digression sur le mode dérive douce!
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Jasmins de nuit
2 juin 2012 at 14:59
Le voyage est une vielle tradition humaine cependant le monde reste l’autre…Et parfois il nous est difficile d’apprivoiser l’autre justement. Cheers!
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Nhean
1 décembre 2012 at 03:29
ab …..Le foyer, la lueur e9troite de la lampe ;La reaverie avec le doigt contre la tempeEt les yeux se pradent parmi les yeux aime9s ;L’heure du the9 fumant et des livres ferme9s ;La douceur de sentir la fin de soire9e …. bb Verlaine (La bonne Chanson)
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