De pierre et d’eau s’étendait devant moi la ville en prose .
Comment transcrire ce plaisir infini? Faut-il emprunter le figuratif ou arpenter les chemins du suggestif ?
D’entrée et s’il fallait s’inscrire dans un langage se serait inévitablement celui de l’amour…
Une sorte de permanence de vision ,une lois du vivant en priorité.
La fulgurance des images finit par l’emporter et nous commençons par le début.
Nous commençons par l’essence , par l’odeur citadine suave ourlée de notes sensuelles qui érotisent les vielles battisses,les rues pavées ,les ombres et les taches de lumières…La vie se colore et l’image s’installe,la tout juste en bordure du monde.
L’occasion majuscule prend alors l’apparence d’une femme qui se promène dans la Ville.
Image
De pierre et d’eau…
04
Sep