Les mots, encore eux, comme ultime refuge et le souffle d’un écrivain pour reapprendre a se réveiller tous les autres matins.
« Paris est une fête », rédigé entre 1957 et 1960, est un déroulé d’instants tendres et joyeux relatant le passage de l’écrivain Américain Ernest Hemingway dans la capitale française dans les années 1920.
Plusieurs exemplaires du roman ont été déposés entre les fleurs et les bougies sur différents lieux touchés par les attaques, notamment devant l’un des bars visés par les terroristes et devant le Bataclan.
Pendant la minute de silence la semaine derniere de nombreuses personnes tenaient également le livre à la main.
Tout les autres matins…
21
Nov
Jasmins De Nuit 
Jasmins de nuit
23 novembre 2015 at 16:03
Le but des operations terroristes etant celui de transformer l’humain en bête quoi de plus naturel que de recourir a la parole afin de reaprivoiser l’humanité et survivre a tant de malentendus. Tres belle journee a toi Bizak et merci pour tes mots.
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bizak
22 novembre 2015 at 15:47
Oui, Latifa, les mots peuvent nous aider à résister face à l’adversité, les mots ont cette puissance qui nous ravive le cœur, ils nous tiennent la main, ils nous éclairent, ils nous déterminent dans notre soif de vivre et de continuer la route même si elle est parsemée d’embûches. N’auront jamais raison ceux qui n’ont que noirceur comme but.
Nous comprenons mieux Toi et moi, Latifa ce qu’est la vie ensanglantée et brisée, tellement notre cher pays a souffert avec les esprits obscurs.
Merci Latifa
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