Préface des Contes des trois rives.Mourad Djebel .
Mourad Djebel fait partie de ces nouvelles plumes algériennes qui restent profondément marquées par le chaos et la descente en enfer de l’Algérie dans les années 1990.
Comme beaucoup d’autres il a commencé à écrire en exil, avec de la douleur, de la rage et de la révolte, il a élaboré une écriture neuves, bouleversées mais virtuose.
« Ma génération est habitée par une révolte incommensurable, affirme Mourad Djebel, né en 1967, Nous sommes nés après l’indépendance et nous avons connu une sorte de dictature. Notre passage de l’adolescence à l’âge adulte a été ponctué par des explosions – celle des étudiants en 1986, celle de 1988, puis celle qu’on nomme « les événement ». Nous vivions alors la peur au ventre. » Mourad Djebel .
Pas la peine de crier.par Marie Richeux. France culture.16/03/2012
Madina
14 juillet 2012 at 00:34
Il n ai malheureusement pas le seul à être révolté!
C’est tout un peuple qui l’est.
Quelle grande tristesse pour notre si aimé pays:(
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Samia Benidir
18 mars 2012 at 01:11
Tres belle lecture sur les contes. Merci! J’aime aussi les photos de jolies femmes dans les costumes d’antant qui ne se demodent pas.
Samia B
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Jasmins de nuit
18 mars 2012 at 09:17
Samia Benidir: Merci pour ton passage Samia et pour ton commentaire …j’ai beaucoup aimé le texte également . je découvre Mourad Djebel au même temps que vous.Biz
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